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Les Petits Frères des Arbres


par Dust

On découvre un pont suspendu dans les arbres (La planète aux vents de folie, page 122).
Il s'agit de créatures d'1,50 m à la peau claire couverte d'une fourrure pâle, avec un visage plat étrangement humanoïde, un nez épaté et des yeux rouges (pages 123, 146). Ce sont des êtres étranges fourrés aux gros yeux (page 216). Ils ont la taille d'enfant de 10 ans (page 216) Ils sont beaucoup plus légers que les humains (page 215).
Ils poussent des cris d'oiseau strident. Ils sont arboricole (page 123). Ce sont " les jeunes frères, les petits qui manquent de sagesse " selon les chieris (pages 123, 218). Ils ressemblent d'avantage à des tarsiens qu'à des singes intelligents. Ils utilisent des outils ; on pourrait les qualifier d'homo arborens (page 123). Ils sont aussi appelés les "hommes des routes dans les arbres" (page 227).
Les chieris les appelle aussi " le petit peuple " (page 161).
C'est un peuple sylvicole (page 218).
Ils construisent des ponts à l'aide de longue boucles de roseaux tressées et liées, reliés au bas des arbres par des échelles de corde (page 216). Leur constructions dénotent un haut niveau d'élégance et d'adaptabilité (page 218).
Ils cultivent des champignons gris (page 216).
On découvre une maison de bois solidement construite, avec une substance phosphorescente posée contre les murs et qui répand une lueur rougeâtre. Le plancher est mœlleux, couvert d'une matière molle et spongieuse, comme si de la mousse ou une sorte d'herbe douce poussait là. Cette maison dans les arbres est faite d'une seule pièce (page 224). Le seul meuble que l'on y trouve est un métier à tisser (page 228).



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© Christophe Guilbot |