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L'épée enchantée

Couverture

Introduction

Critiques

Citations

Personnages

Evénements

Résumé

  


Souvenirs mitigés (Christophe Guilbot)

C'est le premier livre de la saga que j'ai lu. Je me souviens avoir été attiré par le titre, étant fan depuis longtemps d'heroic-fantasy. J'ai bien aimé le concept et le monde décrit par MZB. Je m'y suis senti à l'aise. J'aime bien cette ambiance un peu moyennageuse et cette petite pointe de fantastique. Ce que j'ai surtout apprécié, c'est qu'il n'y a pas trop de fantastique justement, ce n'est pas un délire de science-fiction ou démoniaque. Un autre monde mais suffisamment attaché à notre réalité. J'aime aussi les relations entre les personnages, les liens intimes et amoureux et l'héroïsme qu'ils peuvent engendrer. Par-contre, j'ai été déçu par les hommes-chats. Ils ne sont qu'un prétexte, en fait, et du coup ils sont anecdotiques. Du reste, il n'en n'est plus question dans les autres romans et je n'en ai moi-même plus aucun souvenir (il faudrait que je le relise).

Mais encore ? (Jildaz Legendre)

Ce bouquin est bon, pas encore parfait, mais on sent que MZB commence à acquérir son style de maître de SF/HF. La psychologie des personnages est ce qu'il y a de meilleur : les quatre personnages, Callista et Ellemir les deux jumelles, Andrew Carr et Damon Ridenow, sont irrémédiablement attirés les uns vers les autres malgré les différences culturelles et les préjugés. L'action est présente et l'intrigue relativement bien soutenue. On peut juste regretter la faible consistance du personnage ennemi, l'Homme Chat, et de sa matrice

Pas mal (Jean-Marc Suzzoni)

C'est un assez bon roman d'aventures que L'épée enchantée, sans doute pas aussi abouti que La planète aux vents de folie, mais qui est indispensable pour arriver à comprendre la suite de la saga. C'est en effet ici que sont présentés les quatre personnages principaux qui sont les acteurs et la base de la Tour Interdite. On peut regretter, un peu, que MZB ne se soit pas autant intéressée cette fois à la description de sa planète qu'à la psychologie des personnages… C'est un reproche majeur (et pas pour ce seul roman).



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© Christophe Guilbot |